Selon le ministère de l’Agriculture, “la situation sanitaire au regard de l’influenza aviaire (…) a empiré au cours des dernières semaines.” Plus de la moitié des foyers en élevage sont concentrés dans la région Pays de la Loire ainsi qu’en Vendée et dans le Maine-et-Loire. Si l’Occitanie semble relativement épargnée, la situation n’en demeure pas moins préoccupante, avec plusieurs foyers détectés notamment dans le Gers.
Elevage
Eleveurs de brebis, d’agnelles et de béliers en Lozère, Marie-Rose, Gérard et Hervé Raynal ouvriront leurs portes aux professionnels du monde agricole pour présenter la façon dont ils innovent sur leur ferme grâce au sylvopastoralisme, en lien avec le changement climatique et l’autonomie fourragère
Depuis le 15 septembre 2017, le “Porc Noir de Bigorre” (et le jambon Noir de Bigorre qui en est issu) ont obtenu l’Appellation d’Orignie Protégée (AOP). Ils sont désormais protégés sur tout le territoire européen. Juste reconnaissance pour une race dont l’existence est attestée depuis la période gallo-romaine.
Quelques jours après la Journée de la Terre (22 avril) aura lieu le 26 avril une journée nationale de “mobilisation contre les projets toxiques” : “Retour sur Terres”… Ce sera notamment l’occasion d’une mobilisation à Lescout (Tarn) contre l’agrandissement d’un élevage de poules…
Compte tenu de la situation et notamment la présence très importante de virus dans le couloir migratoire de la mer du Nord et de la Méditerranée, le Ministre a décidé de passer, par sécurité préventive, en niveau de risque “élevé” sur l’ensemble du territoire Français. Le département du Gers est particulièrement concerné., ainsi que plusieurs communes des Hautes-Pyrénées.
Depuis plusieurs années, l’activité laitière est en perte de vitesse en Occitanie et particulièrement en Haute-Garonne. Face à ce constat, la Chambre d’agriculture de la Haute-Garonne et YéO-frais se sont rapprochés, pour faire émerger l’association “La Brique Rose” qui a pour vocation de créer une filière de lait responsable dans le département.
Visites d’élevage, balades dans les vignes et les vergers, marchés fermiers, repas gourmands, ateliers et animations, soirées, concerts… Près de 140 agriculteurs accueillent le public, le temps d’un week-end ou d’une saison sur leur domaine pour faire partager leur métier, déguster leurs produits et fêter l’arrivée de l’été. Dix départements d’Occitanie sont concernés…
Des rassemblements ont eu lieu à Cahors dans le Lot et à Auch (Gers), à l’initiative de la Confédération paysanne, afin de défendre l’élevage de plen air, mis à mal par une trosième épidémie de grippe aviaire en 5 ans. Dans le collimateur, l’élevage industriel et la politique sanitaire du gouvernement dans cette affaire.
Le ministre de l’Agriculture et de l’Alimentation, Julien Denormandie, s’est rendu successivement dans les Landes puis dans le Gers, afin d’exprimer le soutien de l’État aux filières avicoles touchées de plein fouet par cette nouvelle épizootie d’influenza aviaire hautement pathogène, mais non transmissible à l’homme. A ce jour, 700 000 volailles (essentiellement des canards) ont été abattues.
Du vin, des cultures agro-forestières, de l’élevage, du pâturage… Ce domaine exceptionnel, 100 % bio, qui s’étire sur 101 hectares dans le Gard, est une vitrine d’une agriculture qui s’inspire de la nature et la respecte. Et résiliente, résistant notamment au réchauffement climatique.
Dans les prochaines années, plus d’un éleveur de brebis sur deux partira à la retraite. Pour assurer le renouvellement de génération mais également le maintien de sa production, la filière ovine proposera près de 10 000 emplois d’éleveurs dans la prochaine décennie.
Les journées Innov’Action 2019, organisées par les Chambres d’agriculture de la région Occitanie, ont mis en avant cette année 26 exploitations agricoles. Avec plus de 900 visiteurs.
Suite à la ratification par une majorité de députés du traité de libre-échange CETA, les syndicats agricoles montent au créneau en dénonçant la recherche de profit qui se développe au détriment de la sécurité alimentaire.
En France, un éleveur de brebis sur quatre a moins de 40 ans. Au cours des prochaines décennies, près de la moitié des éleveurs de brebis partiront à la retraite. Pour en savoir plus, rendez-vous à Réalmont (Tarn) et à Figeac (Lot)…
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L’alimentation est devenue un “véritable en jeu de société” qu’il est urgent de traiter, en particulier auprès des […]