Selon l’Insee, c’est le département de France métropolitaine, principalement le Montpelliérain, où la population augmente le plus rapidement entre 2015 et 2021 comme la Haute-Garonne. Il accueille 170 000 ménages de plus qu’en 2020. Mais accompagné, en certains endroits d’un vieillissement de la population et une natalité en berne.
Insee
L’Observatoire des inégalités affirme que la richesse commence, après impôts et prestations, à 3 860 € par mois pour une personne seule, à 5 790 € pour un couple et à 9 650 euros pour une famille avec deux ados. L’organisme ajoute que, certes les riches sont un peu moins nombreux – 4,7 millions – dans l’Hexagone mais ils sont de plus en plus riches.
À 100 jours du début des Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris, l’Insee publie une enquête menée en collaboration avec l’Institut national de la jeunesse et de l’éducation populaire (Injep). Cette étude présente un état des lieux de la pratique sportive encadrée en Occitanie, à travers le recensement des licences réalisé auprès des fédérations sportives agréées. Un écho à Emmanuel Macron qui appelait récemment les Français à faire du sport “au moins trente minutes par jour.”
La quasi-totalité des seniors (96 %) vivent ainsi à leur domicile, soit 1,7 million de personnes. Et un quart des seniors vivant à domicile font néanmoins face à au moins une limitation fonctionnelle en Occitanie où il y a moins de places en Ehpad que dans d’autres régions. Mais où une offre de soins infirmiers est très développée.
Alba (Aube en Occitan) arrive en tête en Occitanie ! L’Institut de la statistique, l’Insee, permet, chaque année, d’explorer la popularité des prénoms – captés sur l’état civil – donnés à nos enfants dans l’Hexagone depuis le début du XXe siècle (1). La dernière mouture est sorti début juillet. Nos prénoms résonnent avec notre famille, nos ascendants, notre région…
Près de 20 000 intrusions en 2022 dans les départements d’Occitanie. Davantage dans les villes comme à Perpignan, Nîmes ou Montpellier, qu’à la campagne. Et des taux plus élevés dans des lieux où les niveaux de vie sont hauts. Sachant que la majorité des victimes ne déposent pas plainte. L’Occitanie entre dans le top 5 des régions où il y a eu la plus forte hausse des cambriolages.
Pays de la bonne chère, l’Occitanie se classe, selon l’Insee Occitanie, 3e région dans l’Hexagone pour le nombre de ses commerces alimentaires (127 pour 100 000 habitants). La région comptait, en 2017, derniers chiffres connus exploitables, 7 272 commerces alimentaires spécialisés. “Cette forte densité est liée au profil touristique et rural de la région.” Même si petites et moyennes surfaces exercent une concurrence.
Selon l’Insee d’Occitanie, quelque 470 000 personnes survivent avec 1 063 € par mois, le seuil de pauvreté. Et pour ceux qui restent pauvres, une fois les prestations versées, si l’on ne compte que le reste à vivre (une fois tout payé), ils sont tout de même au nombre de 190 000 personnes dans la région, soit un sur dix.
En 2019 en Occitanie, “les femmes sont peu nombreuses” dans les fonctions à responsabilités, dans le privé comme dans le public, constate l’Insee. L’accès des femmes à ces fonctions progresse néanmoins avec la législation et l’arrivée des jeunes générations. Pour Hervé Le Grand, “C’est une situation très structurelle qui évolue très lentement dans la société”.
En Occitanie, près de 60 % des ménages sont propriétaires de leur résidence principale, selon l’Insee. Et 30 % des nouveaux habitants arrivent en devenant propriétaires. Mais plus on s’approche des capitales régionales plus c’est mission impossible. À Montpellier et Toulouse, près des trois-quarts des couples, selon le portrait-type de l’Insee, n’ont pas d’autre choix que de rester locataires.
Entre 2013 et 2019, notre région a accueilli, en moyenne, 41 600 habitants (l’équivalent de Castres ou Albi), avec un fort tropisme pour Montpellier et Toulouse. Ce qui compense un solde naturel -différence entre décès et naissances – parmi les plus faibles de France. Quatre des treize villes de plus de 40 000 habitants perdent de la population : Sète, Nîmes, Perpignan et Albi.
Un logement sur sept est une résidence secondaire en Occitanie qui compte 551 000 pieds-à-terre, dont 113 000 dans l’Hérault. Le phénomène s’accélère avec la crise qui a débuté il y a deux ans. Avec un effet pervers : une tension induite sur le marché du logement. Pour tenter de contrer une spéculation foncière sans précédent, et aider les locaux à se loger, de plus en plus de villes ont décidé de majorer leur taxe d’habitation, à l’image de Sète ou Montpellier.
Crainte des transports en commun pendant l’épidémie, création de coronapistes à Montpellier et Toulouse, multiplication des aides… L’outil crée l’usage : l’Insee dénombre au moins 60 000 adeptes qui se mettent en selle pour aller au travail, avec davantage d’hommes que de femmes. Pour autant, il reste du chemin à parcourir hors des grandes agglomérations