Dans l’atelier 4/21, à Sète, Vinny Murano peint. L’artiste sétois, qui envisage un prochain exil à Paris puise son inspiration dans des sources aussi riches et diverses que Francis Bacon ou Les Zinzins de l’espace, les jeux vidéo ou Edvard Munch… Sans oublier, naturellement la Figuration Libre, mais en se sentant libre d’échapper à cette (parfois) pesante référence. Il expose à Sète, du 12 au 16 juillet.
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Pour 2025, c’est au Nîmois Jules Milhau, 24 ans, que la réalisation de l’affiche des prochaines Feria a été confiée. Son œuvre, une peinture à l’huile, représente une danseuse flamenca de profil surplombant une arène, ainsi qu’un torero y réalisant une passe. Dans sa prochaine exposition, à Carré d’Art dès le 4 juin prochain, l’artiste présentera notamment l’œuvre originale de l’affiche.
Pour marquer les 3 ans de l’invasion russe en Ukraine, “Ukrposhta”, la poste ukrainienne, dévoilera ce lundi 24 février 2025 une série exceptionnelle de 3 timbres illustrés par des œuvres du street-artiste toulousain James Colomina. Installées en août dernier à Kiev, ces œuvres percutantes, peintes en rouge vif – signature distinctive de l’artiste -, dénoncent la guerre et rendent hommage à la résistance ukrainienne.
Robe en os, en plumes, robe-paysage (7 mètres de haut !), gonflées en toile de parapente, sous forme de botte géante… Thématique singulière, contemporaine, la robe fait l’objet d’un questionnement vaste avec beaucoup de pièces uniques. À visiter à l’abbaye cistercienne d’Escaladieu entourée d’arbres centenaires !
Dès à présent, il faut noter la date du 29 février sur vos agendas, pour le vernissage de la nouvelle exposition aux Abattoirs de Toulouse : “Artistes et paysans. Battre la campagne”, qui sera présentée du 1er mars au 25 août et déclinée dans toute la région Occitanie, au travers de résidences, productions et expositions. Et avant ? Les vacances de février sont une période idéale pour découvrir les plus belles expositions d’Occitanie.
Autour d’Albert Camus, Picasso, Garcia Lorca, mais aussi Josep Franch Clapers, Bartoli, Manolo Valiente… Pour cette 4e édition – gratuite – Manuela Parra a concocté un programme riche, à Montpellier, du 28 novembre au 2 décembre. Avec un fil rouge qui se réactualise : dans les camps en France, à l’époque de la Retirada, la culture est résistance.
Attention, week-end chargé ! Tout commence à Montauban ce jeudi soir, avec une visite nocturne en musique au musée Ingres-Bourdelle. Et puis tout s’enchaîne ! Giacometti à l’honneur aux Abattoirs de Toulouse, alors que Le Garage accueille le street’artiste Maye, Et Solid’Art débarque à Montpellier. Et quelques rappels…
Unique édifice d’Art nouveau en Occitanie, le lieu de 1 400 mètres carrés bardé de décors somptueux et de peintures raffinées a été inauguré ce vendredi par Gilles d’Ettore, maire d’Agde, et Carole Delga, présidente de la Région Occitanie. “Un joyau”, ont-ils dit, pour le développement touristique et une passerelle pour la reconquête du coeur de ville.
Le musée Paul-Valéry de Sète (Hérault) présente une rétrospective de l’oeuvre du peintre François Boisrond. Voyage à travers 40 ans de peinture, avec celui qui fut l’un des initiateurs du mouvement de la Figuration Libre, avec les Sétois Hervé Di Rosa, Robert Combas et Rémi Blanchard (décédé en 1993)
Première exposition après l’anniversaire de ses 20 ans, le Musée international des Arts modestes (MIAM) de Sète accueille “Fictions Modestes & Réalités Augmentées”, l’incroyable histoire d’une aventure artistique et humaine, originale et décalée, née en Ardennes belges. Autre événement à Sète, une expo de Banksy au Seamen’s Club…
À l’occasion de la Journée mondiale des zones humides, se déroule jusqu’au 6 février, la 10e édition de la Galerie Éphémère, en plein coeur des salines de Villeneuve-lès-Maguelone. Treize artistes ont carte blanche pour présenter une semaine de travail inspiré par cet environnement unique qu’il est urgent de continuer à protéger. Un événement gratuit, poétique qui marie arts et nature. A faire en famille !
“La Déconniatrie” suit la vie et l’œuvre de l’incroyable docteur François Tosquelles (1912-1994) qui a fui l’Espagne franquiste pour se réfugier en Lozère. Cette exposition dévoile une histoire méconnue qui a fait date dans la psychiatrie au XXe siècle. Elle a permis la transformation collective des institutions psychiatriques, mais aussi influencé le cours de l’histoire de l’art moderne en favorisant l’apparition de l’art brut.
“Portraits en majesté”, c’est le titre de l’exposition présentée au musée Hyacinthe-Rigaud de Perpignan jusqu’au mois de novembre. Un hommage à celui qui a donné son nom au musée, portraitiste par excellence des élites européennes d’Ancien Régime, à commencer par… Louis XIV ! Un événement organisé en partenariat avec le musée national des châteaux de Versailles et de Trianon.