Pas question d’en perdre l’appétit ! Comme le chantaient Asterix et Obelix (dans le film Asterix et Cléopatre – 1968) “Quand l’appétit va, tout va…” Alors pourquoi ne pas faire un petit tour en Occitanie, à la découverte d’artisans talentueux et gourmands ?
(Mis à jour le 31 mars). Amarré à Sète, le bateau-usine Ôdeep One est toujours dans l’attente d’aides de l’État ou de partenaires privés. Lui qui habituellement puise de l’eau de mer des grands fonds pour fabriquer une boisson va quand même, à la place, embouteiller du désinfectant en empruntant à sa banque. Il commence ce 1er avril à raison de 600 tonnes de bouteilles par semaine. Pour la suite, la compagnie lance un appel à des partenaires privés.
(Avec vidéos). Pour la première fois, les préfectures lancent un appel au don tous azimuts. Aux particuliers comme aux entreprises. Au même moment, certaines entreprises de la région stoppent leur production pour confectionner en urgence des masques. Exemples avec Eminence dans le Gard et Tuffery en Lozère.
Effet secondaire du coronavirus : gérer les enfants bloqués à la maison. Et cette fois, c’est parti pour quatorze jours… au moins ! Alors quelles solutions pour éviter de seulement partager avec votre progéniture des heures face à l’écran de la télé, entre pop-corn et déprime ? Rassurez-vous, il y en a !
(Avec vidéo + Mise à jour). Depuis lundi 16 mars, plusieurs milliers de Français, dont une Mirevalaise, squattent l’aéroport de Punta Cana, abandonnés de tous. Alors que la République Dominicaine est confinée comme la France pour raison de coronavirus. La compagnie Air Caraïbe promet un rapatriement de certains Français “dès ce soir”.
Crèches, établissements scolaires et facs sont fermés depuis lundi 16 mars. Sauf les écoles assurant un service minimum pour les enfants des personnels soignants. La communauté éducative, “en première ligne”, réclame des masques. “Pour ne pas être source de contamination et contaminer des soignants dont on a le plus besoin”.
Il y a bien sûr les plats à livrer proposés par les restaurants, les traiteurs et les drive des fast food, les seuls qui peuvent servir à manger, coronavirus oblige. Pour le reste, terminé : impossible de profiter de la convivialité d’un restaurant. Des initiatives se font jour çà et là pour sauver les stocks alimentaires et remplir un peu le tiroir-caisse des commerçants.