À l’occasion du renouvèlement de la convention pour dix ans avec quatre milliards d’euros à la clef avec la SNCF, la présidente de région a annoncé la possibilité “de pénalités très très fortes qui peuvent aller jusqu’à 9 M€ par an au total”. Et ce, à partir de cinq minutes de retard à l’arrivée. Les deux partenaires visent 100 000 voyageurs par jour.
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C’est une première en France. Elle concerne un million de personnes. La Région Occitanie creuse davantage le sillon d’une politique tarifaire attractive , rouvre des lignes supprimées et mise, grâce à la “gratuité par l’usage”, sur la fréquentation. Ce qui fonctionnait déjà à une échelle réduite.
La Région Occitanie a renouvelé en séance plénière son partenariat avec la SNCF pour cinq milliards d’euros. Au programme : davantage de trains et davantage de ponctualité ; des réouvertures de lignes et des tarifs toujours aussi attractifs. Le point avec Jean-Luc Gibelin, vice-président de la Région.
Dès décembre, chaque 1er week-end du mois, vous pourrez prendre le TER moyennant 1 € le trajet subventionné par la Région Occitanie. Carole Delga, présidente de région, ajoute : “Je pose à l’échelle du territoire national le sujet de la gratuité des transports en commun du quotidien. L’urgence climatique en a impérativement besoin”. Sans oublier le pouvoir d’achat des Français entamé par l’inflation. “On est cependant encore loin d’une mesure valable sur tout le territoire comme en Allemagne”, juge Jean-Luc Gibelin, vice-président de la région.
La collectivité lance avec la SNCF une nouvelle offre réduite pour les plus de 60 ans dans les TER après l’avoir fait pour les moins de 26 ans. Dans le même temps, la région Occitanie rouvre des lignes voyageurs dont l’une, emblématique et très attendue, entre Avignon et Pont-Saint-Esprit (Gard). Dans un double but : redonner du pouvoir d’achat et devenir la 1er région à énergie positive.
Une aide unique en France pour les jeunes qui prennent le train ; une carte Occ’ygène avec de nombreuses réductions ; trois millions de billets de train à petits prix ; aides à la garde d’enfants ou au logement des saisonniers… La Région Occitanie déploie dispositifs et mesures pour maintenir un haut niveau de fréquentation, rester attractif et limiter les freins à l’embauche des saisonniers.
La SNCF a présenté un train nouvelle génération qui a de nombreux atouts. Les premiers essais sont concluants. Les derniers tests se feront en mai en Occitanie partie prenante du projet. De quoi conforter Carole Delga, présidente de la région, et Jean-Luc Gibelin, vice-président, dans leur volonté de limiter les gaz à effet de serre.
L’Eau Neuve, c’est une eau minérale naturelle de montagne qui puise sa pureté exceptionnelle à 1332 m d’altitude, dans la chaine des Pyrénées en Haute-Ariège à Mérens-les-Vals. Depuis le mois d’avril 2021, ses contenants entièrement recyclables sont disponibles dans plus de 600 points de vente en Occitanie et désormais aussi dans les trains SNCF…
C’est ce qui s’appelle se forger un avenir. Reconquête des friches industrielles, aide au commerce du centre-ville, déplacement de la gare envisagé sur le terrain de l’ex-raffinerie… Frontignan, 6e ville de l’Hérault, “site pilote”, s’engage dans un sacré défi, avec l’aide de la région Occitanie.
Une expérimentation est lancée en avril avec 2 000 volontaires. Généralisation prévue en septembre prochain pour les 18 ans-26 ans. Pour davantage de pouvoir d’achat pour les jeunes. Coût pour la collectivité : 1,5 M€ par an.
Carole Delga, présidente de Région, et Jean-Pierre Farandou, PDG de la SNCF, ont présenté cet après-midi des ambitions communes pour un meilleur déploiement ferroviaire en Occitanie. La première met “sur la table” 800 M€. Et attend la réponse du gouvernement pour l’autre moitié du financement. Le second a salué l’investissement de la Région.
Pas un train durant l’été en Ariège ; longues négociations sur la réouverture de petites lignes ; un cher entretien du réseau ferré… Le vice-président de la Région Occitanie fait le point.
Une belle histoire de tortillards. Dans la région, deux trains se distinguent. Le Cévenol, symbole de la lutte des territoires, désormais exploité par la Région Occitanie, et la ligne de l’Aubrac ou Causses-Cévennes qui vient de bénéficier d’investissements lourds. Ces deux trains mythiques devraient le rester pour les générations futures.
[Réactualisé le 13 décembre 2021] Paris-Lourdes et Cerbère-Port-Bou, c’est reparti ! Et, sous l’impulsion d’initiatives privées, dont celle d’un Montpelliérain, Éric Boisseau, qui a un projet de deux trains, les très pratiques sleeping, concurrencés par les cars Macron et les les vols low cost au point de quasiment disparaître, renaissent doucement, notamment en Occitanie.
Le train assurant quotidiennement le transport de fruits et légumes frais entre Perpignan Saint-Charles et Rungis pourrait s’arrêter vers le 15 juillet. Ce qui signifierait 25 000 camions de plus par an sur les autoroutes d’Occitanie. Bravo pour le bilan carbone !
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