“La Déconniatrie” suit la vie et l’œuvre de l’incroyable docteur François Tosquelles (1912-1994) qui a fui l’Espagne franquiste pour se réfugier en Lozère. Cette exposition dévoile une histoire méconnue qui a fait date dans la psychiatrie au XXe siècle. Elle a permis la transformation collective des institutions psychiatriques, mais aussi influencé le cours de l’histoire de l’art moderne en favorisant l’apparition de l’art brut.

Le Président de la République a annoncé la généralisation des 30 minutes d’activité physique par jour dans les écoles primaires, d’ici à 2024. A l’occasion de la “Semaine olympique et paralympique” (du 24 au 29 janvier), l’organisation des J.-O. de Paris soutient le projet, avec cette année un invité exceptionnel : Thomas Pesquet. En Occitanie, 128 établissements sont déjà mobilisés.

La prestigieuse institution, qui fête ses 30 ans, participe activement à la vie culturelle de la Ville Rose. Le directeur de celui de Toulouse, actif depuis 1992, Juan Pedro de Basterrechea Moreno, nous fait (re)découvrir cet institut, spécialisé dans l’exil républicain, qui propose des diplômes, offre un accès à un fond de 50 000 documents.

En 2022, quadri-centenaire de la naissance de Molière (le 15 janvier 1622), l’Institut de recherche sur la Renaissance, l’âge Classique et les Lumières (Université Paul-Valéry Montpellier 3), en partenariat avec le Printemps des comédiens, fête la vitalité de son oeuvre ! Voir aussi les commémorations prévues samedi à Pèzenas et “L’école des Femmes” avec Francis Perrin, au Cap d’Agde (dimanche).

Jamais les sondages n’ont occupé une telle place dans la vie politique française. Oui, mais… Le chercheur et enseignant en sciences politiques Alexandre Dézé, de l‘Université de Montpellier, explique leurs limites, voire leurs erreurs dans un livre à paraître le 25 janvier prochain. Une saine lecture. Et même… nécessaire, à quelques mois de la présidentielle !

Avec 624 individus, le loup, espèce protégée, est de plus en plus présent en France. En Occitanie, l’Office français de la biodiversité compte une dizaine d’individus et une “légère hausse” de ses zones d’implantation, une dizaine. Pour les éleveurs, excédés par le nombre de brebis tuées, le comptage minimise le nombre de loups. Ils font pression pour une “meilleure” méthode, ouvrant droit à davantage de “prélèvements”. Les associations dénoncent, elles, ce lobbying. Alors qu’en Aveyron, par exemple, le loup a les crocs…