A mi-saison, la Fédération Nationale Ovine dit constater “des dommages en forte augmentation sur les troupeaux” dus à la prédation des ours. Les éleveurs “exigent que l’Etat décuple les moyens humains et matériels affectés à l’effarouchement des ours.” Du côté de l’association Pays de l’Ours – Adet, on insiste au contraire sur “le caractère peu prédateur de l’ours dans les Pyrénées.”