La pandémie de covid-19 révèle encore davantage la fragilité extrême du secteur des métiers d’art. Député de l’Hérault, Philippe Huppé a écrit une tribune déjà signée par 100 députés et deux sénatrices, dont 20 en Occitanie.
Métiers d’art
Mal protégés, mal identifiés, sans branche professionnelle, disséminés… Les métiers d’art vivent un cauchemar à cause de la crise qui accentue leur fragilité. Une crise qui peut être un moyen de redéfinir ce secteur qui souffre d’un manque de reconnaissance. Dis-Leur fait le point avec la présidente nationale des Ateliers d’Art, Aude Tahon.
Les métiers d’art sont plébiscités par le public qui vient en masse l’été visiter leurs ateliers. Un savoir-faire unique au monde avec des pépites comme les jeans Tuffery en Lozère ou la Forge de Laguiole. Mais la filière, mal organisée, a du mal à subsister. C’est tout le sens d’un rapport remarqué du député LaRem de l’Hérault, Philippe Huppé.