Pour lutter contre le cyberharcèlement, la Région lance l’expérimentation de l’application SafeBear dans 13 lycées d’Occitanie, un par département. Cette application permet de conserver les messages hostiles dans un coffre-fort numérique et d’alerter les parents, avec l’accord de leurs enfants. C’est la première fois que SafeBear est mise en place à l’échelle d’une région.

(Modifié le 25 novembre 2024). Désormais 80 boutiques participent à ce dispositif d’urgence mis en place, si besoin, à Montpellier pour que le commerçant appelle les secours. Il s’agit de lutter contre le harcèlement de rue et le sentiment d’insécurité. Nîmes avait été la première ville d’Occitanie à mettre en place le sien, Angela, dont les résultats sont jugés “très positifs”.

Huit femmes sur 10 ne se sentent pas légitimes dans les situations professionnelles. C’est à ce moment que le syndrome de l’imposteur entre en jeu : manque de confiance en soi, sensation de ne pas mériter son succès ou de ne pas être à sa place. Une toulousaine, Roxane Régnier, et son équipe proposent un accompagnement digital inédit, afin de briser ce cercle vicieux.

(Modifié le 25 novembre 2024 avec Montpellier). De l’outrage sexiste au viol : Nîmes est la première ville d’Occitanie a créer un tel dispositif d’information accompagnant la création d’un “réseau de bienveillance”. Quelque 150 commerçants ont adhéré à Nîmes, 80 depuis quelques jours à Montpellier. Une vraie prise de conscience.

Le phénomène d’ «emprise» ainsi que la notion de «suicide forcé» pourraient faire leur entrée dans le code pénal français, cette année. Parce que les violences physiques ne sont que les marques les plus visibles des violences conjugales...

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