Dans l’Hérault comme dans les Pyrénées-Orientales, même constat du CRTL, de l’Insee ou des collectivités : ce fut un bel été porté par le retour de la clientèle étrangère et, aussi, une évolution notable : de plus en plus de visiteurs régionaux ou venant de régions voisines, comme à Sète. Le niveau de fréquentation approche celui, record, de 2019.

Trois associations organisent fin mai une première en France : le tour de l’étang de Thau en quatre étapes de natation en eau vive. Pour champions et amateurs qui se mettent au défi sur une ou plusieurs étapes de ce premier Swim Thau Trek. Parallèlement, s’organise une semaine de ramassage de déchets pour faire prendre conscience de cet écosystème fragile.

“Aucune station n’a fermé pendant la crise”, respire le président de la Fédération des thermes d’Occitanie. Grâce aux aides, notamment de la Région Occitanie, première région thermale de France avec quelque 200 000 curistes par an. Même si la perte sèche est importante – 200 M€ – les fidèles reviennent. Dis-Leur vous explique aussi pourquoi  la filière a de beaux jours devant elle.

Première région thermale du pays, l'Occitanie va créer une "task force" pour aider à élaborer un modèle économique à certaines de ses 29 stations à la peine, faisant appel parfois à une diversification vers des cures bien-être, pour mieux attirer les investisseurs. Ambitieux.

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L'étang de Thau est sujet à un phénomène baptisé inversac lié au réchauffement climatique : de l'eau de l'étang, salée, se déverse parfois dans la nappe phréatique. Une vaste étude, menée par le BRGM, a pour but, de permettre à ce modèle millénaire unique où cohabitent thermalisme, ostréiculture, etc., de se pérenniser.

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Après avoir décortiqué le tourisme en Occitanie, la Chambre régionale des comptes analyse les fragilité du modèle économique singulier du thermalisme, pris en charge par l’Assurance maladie, qui s’appuie sur une clientèle de proximité et implanté le plus souvent dans des communes rurales.

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