Première région thermale de l’Hexagone, l’Occitanie dispose de 28 stations qui remontent doucement la pente de la crise covid. Rivalisant d’aménagements pour attirer une clientèle plus large, proposant des cures médicales et mini-cures. Et des espaces bien être de plus en plus attirants. Des stations de plus en plus complexes comme les Fumades, près d’Alès, dans le Gard (30 M€ investis) ou Luchon (40 M€). Quant à Balaruc-les-Bains, elle fait vivre un dialogue social poussé pour in fine une meilleure expérience client qui pourrait faire des émules.

“Aucune station n’a fermé pendant la crise”, respire le président de la Fédération des thermes d’Occitanie. Grâce aux aides, notamment de la Région Occitanie, première région thermale de France avec quelque 200 000 curistes par an. Même si la perte sèche est importante – 200 M€ – les fidèles reviennent. Dis-Leur vous explique aussi pourquoi  la filière a de beaux jours devant elle.

L'étang de Thau est sujet à un phénomène baptisé inversac lié au réchauffement climatique : de l'eau de l'étang, salée, se déverse parfois dans la nappe phréatique. Une vaste étude, menée par le BRGM, a pour but, de permettre à ce modèle millénaire unique où cohabitent thermalisme, ostréiculture, etc., de se pérenniser.

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