Entre 2013 et 2019, notre région a accueilli, en moyenne, 41 600 habitants (l’équivalent de Castres ou Albi), avec un fort tropisme pour Montpellier et Toulouse. Ce qui compense un solde naturel -différence entre décès et naissances – parmi les plus faibles de France. Quatre des treize villes de plus de 40 000 habitants perdent de la population : Sète, Nîmes, Perpignan et Albi.

Hyper-attractive, l’Occitanie, entre 2012 et 2017, a vu sa population croître de 47 400 habitants en moyenne par an – qui tend cependant à décélérer – pour atteindre 5,8 millions d’habitants. Seules quelques villes moyennes – Sète, Alès, Carcassonne, Albi ou Tarbes perdent des habitants au profit de leur banlieue. Le département de la Lozère, lui, a stoppé la perte d’habitants et multiplie les actions.