Première région thermale de l'Hexagone, l'Occitanie dispose de 28 stations qui remontent doucement la pente de la crise covid. Rivalisant d'aménagements pour attirer une clientèle plus large, proposant des cures médicales et mini-cures. Et des espaces bien être de plus en plus attirants. Des stations de plus en plus complexes comme les Fumades, près d'Alès, dans le Gard (30 M€ investis) ou Luchon (40 M€). Quant à Balaruc-les-Bains, elle fait vivre un dialogue social poussé pour in fine une meilleure expérience client qui pourrait faire des émules.
Alès
“Dispositif novateur, premier du genre en France”, selon Carole Delga, l’école régionale du numérique vient d’ouvrir, à Sète, la 20e antenne de son réseau. La formation, destinée aux plus éloignés de l’emploi ou en reconversion, n’exige aucun prérequis, ni diplôme. Le taux d’insertion, de 80 %, parle de lui-même.
Un couple d’Alésiens a mis au point, avec l’école des Mines d’Alès, une solution globale à toutes les enseignes et gratuite pour les clients pour dématérialiser la preuve d’achat. Sous forme d’une application à télécharger.
A Nîmes, 95 000 personnes sont directement menacées. Plusieurs fois endeuillée, la ville a créé en 2015 un dispositif unique de protection, Nîm'Alabri qui a fait florès. À Alès, Montpellier, Cannes, Saint-Tropez comme la presqu'île de Guérande, sur la côte atlantique. Un succès décrypté.
Samuel Touron, du site Aqu’Istoria, livre, dans sa chronique mensuelle, son analyse historique, si loin et si proche, […]