La Première ministre a décrété “la mobilisation générale” avec une série de mesures dont le renforcement du programme PHARe. Au rectorat de Montpellier, Laurence Riche-Dorlencourt, référente académique, insiste sur la nécessité de “repérer les signaux faibles”. Selon elle, malgré le tsunami de signalements attendus, les ressources seront suffisantes. Pour le président national de la FCPE, Grégoire Ensel, les moyens sont très loin de suffire. “La communauté éducative livre un combat avec des fourchettes en plastique…”, dit-il.

Le harcèlement touche 700 000 élèves en France. Le 7 novembre a été décrétée Journée nationale de lutte contre ce fléau et sensibiliser enfants, adolescents et personnel scolaire. En Occitanie, trois associations font un travail remarquable auprès des victimes et des familles.

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