En 2024, police et gendarmerie ont enregistré une baisse de ces infractions, à 3 200 faits (- 5 %), retrouvant son niveau, déjà très haut, de 2021. Avec 199 faits recensés, l’Occitanie est dans la moyenne basse. Mais toutes ces statistiques ne représentent qu’une faible part du phénomène largement sous-évalué mais, mesuré année après année, il a une vraie valeur statistique.
harcèlement de rue
(Modifié le 25 novembre 2024). Désormais 80 boutiques participent à ce dispositif d’urgence mis en place, si besoin, à Montpellier pour que le commerçant appelle les secours. Il s’agit de lutter contre le harcèlement de rue et le sentiment d’insécurité. Nîmes avait été la première ville d’Occitanie à mettre en place le sien, Angela, dont les résultats sont jugés “très positifs”.
(Modifié le 25 novembre 2024 avec Montpellier). De l’outrage sexiste au viol : Nîmes est la première ville d’Occitanie a créer un tel dispositif d’information accompagnant la création d’un “réseau de bienveillance”. Quelque 150 commerçants ont adhéré à Nîmes, 80 depuis quelques jours à Montpellier. Une vraie prise de conscience.