Le préfet de Haute-Garonne a proposé une hypothèse pour réduire la gêne sonore de la plateforme aéroportuaire, en préservant le coeur de la nuit mais avec quelque 400 exceptions dues aux retards. Cette hypothèse ne plaît ni à la direction de l’aéroport ni au collectif de 21 associations de défense qui ne veut aucun vol entre minuit et 6 heures du matin.

La reprise (+ 18 %) aurait pu être plus importante en 2022 si l’ensemble des embauches avait pu se réaliser. Coût des matières premières et difficultés d’approvisionnement ont aussi freiné l’activité. Le spatial a, lui, marqué le pas. La filière compte 159 600 salariés (+ 4 %) dont six sur dix sont dans l’aire d’attraction de Toulouse. Les perspectives d’avenir restent favorables.