C’est la 4e étude du genre depuis 1970 qui actualise le “paysage sexuel” des Français. Avec un paradoxe d’emblée : davantage de pratiques, de partenaires mais des couples – parce qu’il y en a moins, aussi – qui font moins l’amour… En creux, les auteurs démontrent une évolution du modèle familial. Et une plus grande acceptation de l’homosexualité

Avec le retour des beaux jours et la réouverture des bars et des discothèques, les célibataires vont-ils passer l’été à rattraper tous ces mois de « retenue » sexuelle imposés durant les confinements ? Le pôle “Genre, sexualités et santé sexuelle” de l’Ifop a mené l’enquête, pour CAM4 et Hot Vidéo, et révèle les intentions sexuelles et sentimentales de l’été.