Meilleure compréhension du changement climatique et des exoplanètes, dans les Hautes-Pyrénées, le plus ancien observatoire au monde vient de se refaire une beauté à plus de 7 M€. De quoi aussi participer de sa transmission “aux générations futures”. Le comité français de l’Unesco s’est rendu ce 28 octobre sur le site qui pourrait être inscrit au patrimoine mondial en 2027, explique Remi Cabanac, de l’Université Paul-Sabatier, de Toulouse et directeur scientifique du pic.

Une équipe de scientifiques toulousains fonde quelque espoir sur ce tissu spécifique qui ne stocke pas mais brûle la graisse. Son apport est essentiel dans le mécanisme mobilisé. “Baisser la température des bâtiments, s’acclimater à une température plus basse est un moyen de réactivation de cette graisse”, professe Dominique Langin qui a dirigé cette équipe.

Depuis 2005, la cérémonie annuelle de la remise de "Grands Prix des fondations" met en lumière l’ensemble des actions des fondations abritées à l’Institut de France et plus particulièrement la remise de prix qui comptent parmi les plus importants du monde dans les domaines scientifique, culturel et humanitaire. Sous la coupole de l'Institut de France, c'est le toulousain Vincent Guedj qui a reçu le "Grand Prix scientifique 2024" de la Fondation Charles-Defforey

Ce contenu est accessible seulement aux membres Premium et Premium mensuel.
Se connecter S'enregistrer