Bâchage des piscines, baignoire sans bouchon, seaux à glace bannis… UMIH et préfecture ont signé une charte avec des mesures innovantes. “La réutilisation des eaux “grises” reste la plus intéressante”, souligne Brice Sannac, président, qui espère que hôteliers et restaurateurs s’y emploient en misant sur des aides spécifiques à l’État.

Le bilan “en demi-teinte” de la saison dans un département qui propose mer et montagne met une pièce de plus vers un tourisme plus responsable et de proximité, comme l’explique Aude Vivès, vice-présidente du département, à la tête de l’Agence de développement touristique. De son côté, Brice Sannac, président de l’UMIH, milite pour les courts séjours.