En France, la surpêche touche encore 20 % des poissons débarqués. En Méditerranée, cela n’excède pas 10 % des 18 000 tonnes pêchées mais avec un biais énorme : même pris en compte, 54 % des tonnages ne sont pas évaluables, dont le poulpe, le maquereau et la dorade royale “difficiles à suivre”, dit l’Ifremer dans son rapport annuel.

Une étude très sérieuse a été menée sur la spécialité culinaire de Sète publiée dans l’International Journal of Gastronomy and Food Science par des Sétois passionnés qui désiraient que la science tranche la question. La réponse : quels que soient les ingrédients, c’est la façon de cuisiner la tielle qui en fait le goût. Avis aux discussions animées de cette fin d’année !