C’est une hausse inédite de 28 % par rapport à 2020 enregistrée par le ministère de l’Intérieur. En majorité, ces crimes et délits ont lieu en milieu urbain, à 53 % dans les agglomérations de plus de 200 000 habitants. “Ces chiffres ne représentent qu’un quart sans doute des faits réels”, confie Denis Quinqueton. Cofondateur de l’observatoire LGBT de la fondation Jean-Jaurès,