Des chercheurs nîmois ont lancé une vaste enquête montrant, entre autres, une hausse des dépressions huit fois supérieure à la normale. Le but est de dégager des pistes pour anticiper les effets néfastes du confinement et imaginer des prises en charge surtout s'il y a plusieurs vagues d'épidémie et de reconfinement.

Ce contenu est accessible seulement aux membres Premium et Premium mensuel.
Se connecter S'enregistrer