La coïncidence interpelle : en 2017, le méchant de l’album “Asterix et la Transitalique” avait pour nom : Coronavirus ! Mais de Spirou à la plus récente série de chez Delcourt, les virus ne sont-ils pas une éternelle source de sujets pour la BD.
La coïncidence interpelle : en 2017, le méchant de l’album “Asterix et la Transitalique” avait pour nom : Coronavirus ! Mais de Spirou à la plus récente série de chez Delcourt, les virus ne sont-ils pas une éternelle source de sujets pour la BD.