Dans l’Hexagone, cent vingt-deux femmes ont perdu la vie en 2021 sous les coups de leur conjoint ou ex-conjoint contre cent deux en 2020, selon le ministère de l’Intérieur. 84 % avaient déposé une plainte antérieure. Psychiatre spécialisée, Muriel Salmona explique les raisons pour lesquelles le fléau ne faiblit pas.