En dépit des tensions économiques, les grands indicateurs de la filière des vins bio en France restent positifs. C’est l’un des enseignements de l’édition 2025 du salon “Millésime Bio” (organisé par SudVinBio) qui se tenait à Montpellier. Plus largement, l’Occitanie reste la première région bio de France et la menace de suppression qui a plané sur l’Agence Bio a souligné l’importance d’un soutien à ce pan essentiel de l’économie régionale.
OFB
(Avec Vidéo). L’Association pour la sauvegarde du patrimoine d’Ariège-Pyrénées a lancé 9 G, un réseau de bénévoles qui signalent la présence de l’ours. Pas plus tard que mardi, un plantigrade s’est attaqué à une ruche en présence d’un agent de l’OFB ! Magali Lacube, qui faisait aussi partie de la délégation d’études de l’ours en Italie, réclame, après Christine Téqui, une régulation de l’animal.
Avec 76 individus dénombrés par l’Office français de la biodiversité, on assiste à une vraie dynamique dans le massif. Mais la population de plantigrades n’est pas encore viable, selon le directeur de l’association Pays de l’Ours-Adet. Alors que l’ours est responsable, en 2022, de 331 attaques pour 590 animaux tués ou blessés sur le cheptel domestique, l’État met davantage de moyens pour mieux protéger les troupeaux et former les bergers.
Avec 624 individus, le loup, espèce protégée, est de plus en plus présent en France. En Occitanie, l’Office français de la biodiversité compte une dizaine d’individus et une “légère hausse” de ses zones d’implantation, une dizaine. Pour les éleveurs, excédés par le nombre de brebis tuées, le comptage minimise le nombre de loups. Ils font pression pour une “meilleure” méthode, ouvrant droit à davantage de “prélèvements”. Les associations dénoncent, elles, ce lobbying. Alors qu’en Aveyron, par exemple, le loup a les crocs…