Les études de scientifiques de l’université Paul-Sabatier, à Toulouse, de l’Inserm Paris et du CNRS ont mis en évidence une réponse positive chez la souris ouvrant la voie à de possibles essais cliniques chez l’homme. Un espoir pour quatre millions d’asthmatiques en France qui souffrent de cette maladie chronique et jusque-là incurable.