Notamment absentes de Toulouse et Montpellier, les campagnes de suivi d'Atmo, qui n'ont débuté il y a seulement deux saisons, ne couvrent pas encore toute l'Occitanie. Elles ont débusqué la présence de molécules utilisées dans la viticulture, l'arboriculture ou les grandes cultures. Certaines sont suspectées d'être des perturbateurs endocriniens. Les résultats sont toutefois à manier avec précaution : il faut aussi tenir compte "de l'effet cocktail" et du lien avec certaines pathologies. Surtout que, dès 2022, l'organisme suivra le glyphosate, le cuivre et le soufre.

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