Sollicitée pour une expertise par le ministère de la Santé, l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation (Anses) estime qu’il y a “des risques de saturation de la lutte ou de tension sanitaire” alors que le moustique tigre est désormais présent dans 78 départements de l’Hexagone et fortement ancré en Occitanie.