Pour une première, un coup de maître : le dernier livre d’Olivier Martinelli, l’écrivain sétois, le tome 1 du Roi des Krols, le livre des purs, est très bien accueilli. Pour deux raisons : au-delà du genre, nouveau pour lui de l’héroïc fantasy, il fait appel à la notion forte de la filiation et dénonce en filigrane l’obscurantisme religieux.