Poser des électrodes dans les sédiments et attendre que la nature fasse son travail : les bactéries présentes dans ce milieu marin vont s’organiser sous forme d’un biofilm qui va coloniser la surface de l’électrode et protéger l’ouvrage d’art. CNRS et la start-up Corrohm viennent de breveter ce procédé naturel et infini, révolutionnaire et très prometteur.