Si les traitements actuels de la schizophrénie – maladie mentale touchant 1 % de la population mondiale – permet de réduire certains symptômes, ils n’agissent que très peu sur les troubles cognitifs affectant la vie quotidienne des patients. Des scientifiques de l’Institut de génomique fonctionnelle (CNRS/Inserm/Université de Montpellier) ont conçu un nanocorps plus efficace que les anticorps utilisés jusqu’alors.