“C’est la première réserve de cette envergure, avec 28 sites, dans le milieu exclusivement souterrain”, dit la sous-préfète, Émilie Barromes. Le sous-sol recèle des richesses de biodiversité, des curiosités géologiques et préhistoriques rares. Pour autant, pas question d’y supprimer visites et activités mais d’anticiper d’un possible sur-tourisme via un plan de gestion.