Meilleure compréhension du changement climatique et des exoplanètes, dans les Hautes-Pyrénées, le plus ancien observatoire au monde vient de se refaire une beauté à plus de 7 M€. De quoi aussi participer de sa transmission “aux générations futures”. Le comité français de l’Unesco s’est rendu ce 28 octobre sur le site qui pourrait être inscrit au patrimoine mondial en 2027, explique Remi Cabanac, de l’Université Paul-Sabatier, de Toulouse et directeur scientifique du pic.