Recouvrir une partie de cette étendue d’eau de panneaux photovoltaïques pour vendre de l’électricité et remplir les caisses du Syndicat des irriguants, principalement agriculteurs pour lesquels ce lac est un outil de travail. Habitants, élus, Parc naturel et département ne l’entendent pas de cette oreille : le lac artificiel a pris toute sa place dans la nature environnante, servant autant les baigneurs, promeneurs que les pêcheurs. Ce projet qui créerait un précédent pose une question essentielle : des panneaux solaires, jusqu’où ?