(2/2) “C’est le moyen le plus utilisé pour exploiter les victimes”, confie la commissaire Lénaïg Le Bail, responsable de l’Office central pour la répression de la traite des êtres humains (Ocrteh). Surtout depuis la crise sanitaire. Dans ce second volet, la spécialiste évoque aussi le panorama de la prostitution qui “couvre tous les milieux et tout le territoire français”, sachant que “plus de 60 % des victimes identifiées – majeures et mineures – dans des affaires résolues, étaient en 2024 des victimes françaises”.