Une équipe de scientifiques toulousains fonde quelque espoir sur ce tissu spécifique qui ne stocke pas mais brûle la graisse. Son apport est essentiel dans le mécanisme mobilisé. “Baisser la température des bâtiments, s’acclimater à une température plus basse est un moyen de réactivation de cette graisse”, professe Dominique Langin qui a dirigé cette équipe.