"On accueille chaque jour à ces points numériques, et cela a été le cas dès les deux premiers mois du changement de procédure, à Montpellier, entre 50 et 60 personnes par jour qui ne s'en sortent pas avec le site ANTS. Ce sont souvent des problèmes de compréhension et d'une novlangue", explique Pascal Othéguy, secrétaire général de la préfecture de l'Hérault. Photos : Olivier SCHLAMA
On ne voudrait pas être pisse-froid. Mais l’époque peut en échauffer plus d’un. Á l’heure du Big Data,…
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