Dossier : Toulouse et Montpellier à fond pour faire sauter les bouchons

bouchons Le périphérique toulousain, régulièrement engorgé. Photo Pauline Codina

Faciliter les déplacements en luttant contre les embouteillages, mieux comprendre les habitudes des usagers et anticiper les besoins nouveaux, c’est un enjeu majeur pour les métropoles. Situation et… solutions :

Plusieurs indicateurs définissent les villes les plus embouteillées de France. Si, comme on pouvait s’y attendre, Paris tient toujours le haut du pavé, en compagnie le plus souvent de Marseille et Bordeaux sur le podium, Toulouse et Montpellier figurent régulièrement dans le top 10. La Ville Rose serait 9e si l’on en croit le bilan 2016 d’Inrix (spécialiste américain de l’info trafic et de l’aide connectée au guidage). Ce qui constitue une amélioration, puisque la métropole occupait la 5e place de ce même classement en 2015.

Un autre classement, celui établi en 2016 par le fabricant de GPS TomTom, propose son podium : Marseille, devant Paris et Bordeaux. Montpellier occupant la 4e place (légère amélioration, puisque Montpellier était 3e en 2015) de ce classement, qui ne met Toulouse qu’en 10e position. Ainsi, si les deux grandes métropoles d’Occitanie rêveraient de telles places en championnat de France de football, elles peuvent moins s’enorgueillir de ces classements.

Le constat est fait, tous les automobilistes d’Occitanie le connaissent. Mais quelles solutions peut-on apporter ? Les villes se sont résolument emparées du sujet, et des spécialistes s’expriment. C’est notre dossier sur les chapeaux de roues !

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