Parmi les solutions, il y a celle, “encore reçue frileusement”, consistant à pomper de l’eau dans les cours d’eau quand leur niveau est haut en hiver pour la réinjecter dans les réserves souterraines en prévision de l’été. C’est la proposition du BRGM qui a cartographié les sites potentiels, dont l’un près de Béziers et un autre à Toulouse. Et pourquoi pas, à Montpellier, réutiliser des eaux usées traitées pour l’irrigation !

L'étang de Thau est sujet à un phénomène baptisé inversac lié au réchauffement climatique : de l'eau de l'étang, salée, se déverse parfois dans la nappe phréatique. Une vaste étude, menée par le BRGM, a pour but, de permettre à ce modèle millénaire unique où cohabitent thermalisme, ostréiculture, etc., de se pérenniser.

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